Dans un monde où l’innovation automobile prend le dessus, Tesla prépare son lancement tant attendu de la fonctionnalité FSD (Full Self-Driving) en Australie. Les récentes informations des médias suscitent l’enthousiasme, promettant une percée technologique qui pourrait transformer notre façon de conduire. Restez à l’affût des nouveautés !
Sommaire :
De nouvelles vidéos de Tesla en Australie
Récemment, des vidéos réalisées en Australie ont suscité des spéculations quant à la prochaine mise en œuvre du système de conduite autonome, Full Self-Driving (FSD) de Tesla, dans le pays. Ces vidéos, largement partagées sur les réseaux sociaux, montrent des véhicules Tesla exécutant des changements de voie, ralentissant pour la circulation et prenant des courbes sans intervention du conducteur, tout en étant sous supervision active.
Images impressionnantes du FSD
Une vidéo publiée par le média Man of Many, et narrée par le journaliste Ben McKimm, met en lumière la rapidité avec laquelle le système réagit aux conditions réelles. McKimm semble particulièrement impressionné par la performance du FSD, affirmant que le véhicule exécute des manœuvres de manière similaire à celle d’un conducteur humain.
Dans une autre vidéo, la reporter Danielle Collin présente une Tesla circulant sur des routes publiques grâce à son système FSD (Supervisé). À l’instar de McKimm, Collin exprime son admiration pour les compétences du FSD, soulignant la capacité du véhicule à réagir de manière autonome aux panneaux d’arrêt.
Absence de barrières réglementaires
Ce n’est pas la première fois que ce logiciel est aperçu sur les routes australiennes. Au début de l’année, Tesla avait diffusé une vidéo d’un Model 3 circulant dans le quartier central des affaires de Melbourne sans intervention visible du conducteur. Une seconde vidéo, provenant de Sydney, a renforcé les attentes selon lesquelles l’Australie pourrait être l’un des premiers marchés à conduite à droite à bénéficier de l’accès à ce système.
Selon le site officiel de Tesla en Australie, le FSD (Supervisé) utilise une visibilité à 360 degrés pour gérer les angles morts, effectuer des changements de voie et maintenir une conscience des véhicules environnants, des cyclistes et des motos. Bien que Tesla précise qu’une supervision humaine constante reste nécessaire pour le moment, le FSD est conçu pour gérer les intersections urbaines, les autoroutes à plusieurs voies et les feux de circulation.
Dans une déclaration précédente faite à news.com.au, Thom Drew, directeur de Tesla pour l’Australie, a confirmé qu’il n’y avait « aucune barrière en Australie » pour un lancement supervisé du FSD, similaire à celui de l’Amérique du Nord. « C’est quelque chose sur lequel notre entreprise travaille actuellement », a déclaré Drew, sans toutefois donner de calendrier précis.
Quels sont les nouveaux développements concernant le FSD de Tesla en Australie ?
De nouvelles vidéos d’Australie ont alimenté les spéculations selon lesquelles le Full Self-Driving (FSD) de Tesla sera bientôt déployé dans le pays. Ces vidéos montrent des Teslas effectuant des changements de voie, ralentissant pour le trafic et gérant des courbes sans intervention du conducteur, mais toujours sous supervision active.
Quelle a été la réaction des journalistes aux vidéos de FSD ?
Les vidéos ont suscité des réactions positives. Le journaliste Ben McKimm a souligné la rapidité du système à réagir aux conditions du monde réel, tandis que Danielle Collin a noté que le véhicule pouvait réagir aux panneaux d’arrêt de manière autonome, impressionnant tous deux par les capacités du FSD.
Y a-t-il des obstacles réglementaires pour le FSD en Australie ?
Il n’y a pas d’obstacles réglementaires pour le FSD supervisé en Australie, selon le directeur national de Tesla, Thom Drew. Il a confirmé qu’il n’y avait « aucun bloqueur en Australie » pour un lancement supervisé, similaire à celui de l’Amérique du Nord.
Quelles capacités le FSD (Supervisé) de Tesla possède-t-il ?
Le FSD (Supervisé) utilise une visibilité de caméra à 360 degrés pour gérer les angles morts, effectuer des changements de voie et garder conscience des véhicules environnants, des cyclistes et des motos. Bien qu’une supervision humaine constante soit encore requise pour le moment, le système est conçu pour gérer les intersections urbaines, les autoroutes à plusieurs voies et les feux de circulation.
Bonjour, je m’appelle Manu Dibango et j’ai 37 ans. Cadre supérieur dans l’administration, je suis passionné par la gestion et l’organisation. Bienvenue sur Camernews où je partage ma veille sur les nouvelles technologies et l’innovation.