En vertu du décret du 24 mai 2025, les collectivités doivent désormais verbaliser tout jardin non tondu au moins une fois tous les 15 jours durant l’été. Cette nouvelle réglementation vise à maintenir l’esthétique urbaine et à encourager les propriétaires à entretenir leurs espaces verts pour le bien-être commun.
À partir du 24 mai 2025, un décret impose aux propriétaires de jardins de maintenir une tonte régulière, sous peine de sanctions.
Sommaire :
Exigences du décret
Règles à suivre
Selon les dispositions du décret, pendant la période estivale, qui s’étend de juin à septembre, toutes les parcelles de jardin doivent faire l’objet d’une tonte au moins tous les 15 jours. Les collectivités locales sont désignées pour superviser l’application de cette réglementation et auront la responsabilité de verbaliser les manquements.
L’objectif est de préserver une esthétique harmonieuse et de minimiser les nuisances, notamment en matière de risques d’incendie durant les périodes sèches.
Sanctions en cas de non-conformité
Des amendes allant jusqu’à 150 euros peuvent être infligées aux contrevenants. Pour les récidivistes, ces montants sont susceptibles d’augmenter considérablement.
Réactions des citoyens
Mesure débattue
Les avis divergent au sein des habitants. Si certains jugent cette initiative comme une atteinte à leurs libertés individuelles, d’autres y voient un pas vers le bien-être commun.
Réflexion de Martin Dupont
Martin Dupont, un résident passionné par le jardinage, montre une certaine préoccupation : « Je saisis le sens de ce décret, cependant, je crains que cela ne pèse trop sur les personnes âgées et ceux qui, comme moi, sont pris par leur travail et peinent à consacrer du temps au jardinage. »
Il serait judicieux de penser à des services de tonte subventionnés pour accompagner les plus nécessiteux.
Solutions proposées
Initiatives des collectivités
Pour pallier à ces préoccupations, plusieurs municipalités commencent à mettre en place des services de tonte à des tarifs réduits, voire gratuits pour les personnes âgées ou celles à mobilité réduite.
Entreprises locales et solidarité
Des sociétés de jardinage se positionnent désormais en proposant des offres adaptées à cette nouvelle demande. En parallèle, des initiatives communautaires fleurissent, permettant aux voisins de s’entraider pour l’entretien des espaces verts, renforçant ainsi les liens sociaux.
Vision à long terme
Changements des pratiques
Cette réglementation pourrait encourager une réflexion plus approfondie concernant la gestion des espaces verts urbains. Adoptant des méthodes de jardinage plus durables et moins gourmandes en ressources, les usagers pourraient voir leurs habitudes évoluer grâce à de telles mesures.
Révisions potentielles du décret
Les autorités pourraient, en concertation avec les citoyens, envisager des ajustements pour rendre le décret plus juste et moins restrictif, surtout pour les populations vulnérables.
- Amélioration des services publics liés à la tonte
- Initiatives de solidarité entre les résidents
- Dialogue continu entre la population et les autorités pour arrimer la législation
Le décret, bien qu’il soulève des débats, pave la voie vers de nouvelles pratiques communautaires. Pour des informations complémentaires sur le sujet, vous pouvez consulter ce lien : Service Public.
Quelles sont les exigences ?
Le décret stipule que durant la période estivale, de juin à septembre, tous les jardins doivent être tondus au moins une fois tous les 15 jours. Les collectivités locales sont chargées de l’application de cette règle, avec la possibilité de verbaliser les contrevenants.
Les sanctions prévues
Les amendes pour non-respect de cette réglementation peuvent aller jusqu’à 150 euros par infraction. Les récidivistes pourraient voir ce montant augmenter significativement.
Une mesure controversée
Cette obligation ne résonne pas de la même manière chez tous les habitants. Certains y voient une intrusion excessive dans leurs libertés individuelles, tandis que d’autres applaudissent une initiative favorisant le bien-être collectif.
Services proposés par les collectivités
Face à ces inquiétudes, plusieurs municipalités ont commencé à organiser des services de tonte à prix réduit, voire gratuits pour certaines catégories de citoyens, comme les personnes âgées ou à mobilité réduite.

Après dix ans passés derrière les comptoirs des bars parisiens et new-yorkais, j’ai transformé ma passion pour les cocktails en une quête créative. Je partage aujourd’hui mon expertise à travers l’écriture, les masterclasses et la création de recettes signatures. Pour moi, un cocktail est comme une histoire : chaque ingrédient participe à créer une expérience unique.