La Camerounaise a défendu sa thèse «Culture des tissus de Prunus africana pour une meilleure conservation et production dans le système agroforestier camerounais» au Maroc mercredi
Au Cameroun, Justine Germo Nzweundji avait évincé, le 07 juillet 2016, les autres candidats venus de sept universités du pays grâce à sa thèse intitulée «Culture des tissus de Prunus africana pour une meilleure conservation et production dans le système agroforestier camerounais». Elle représentait alors l’université de Yaoundé I, où elle est doctorante en deuxième année de thèse.
Jeudi, elle était en compétition avec 19 chercheurs francophones venus de la Belgique (03), Bénin (1),), Canada (3), France (3), Indonésie (1), Maroc (3), Sénégal (1), Suisse (3) et la Tunisie (1).
Justine Germo Nzeundji
Le 3ème prix revient au chercheur français Nicolas Urruty pour sa thèse intitulée «L’impact de la réduction des pesticides sur le rendement du blé en France» qui traite de l’influence du stress climatique et fongiques sur le rendement du blé. La présentation du sujet centré sur le «Cancer de la prostate dans la population marocaine : identification moléculaire, profils de risque et thérapie ciblée» a, pour sa part valu le Prix du public à la doctorante marocaine Chaimae Samtal.
Il était attendu de chacun de ces étudiants un exposé clair, concis et néanmoins convaincant de son projet de recherche en se servant d’une seule diapositive. Top chrono: 3 minutes.