Entre études et métier de modèle, la jeune camerounaise d’origine Massa représente à elle seule l’étendard du mannequinat dans la région de l’Extrême-Nord
Un job-loisir qui alimente sa passion
Dès son plus jeune âge, Nadège quitte le Cameroun et arrive à Lille en France afin d’y rejoindre sa famille et de poursuivre ses études. Elle décide de se lancer dans cette carrière par un pur hasard des circonstances. Répondant à un simple casting pour la découverte de nouveaux modèles, la belle se voit sollicitée de partout vu son originalité visuelle et sa carrure photogénique qui ne laisserait aucun féru d’art insensible. Lorsque l’on aborde la question de savoir pourquoi elle aurait choisi ce métier, Nadège vous répond aussitôt : “Ce n’est pas un métier pour moi, je le prends pour un Job-Loisir. Je n’ai jamais pensé à faire de ce Job-Loisir qui est devenu une passion, mon métier, car même si certains l’ignorent il s’avère être assez rude parfois”.
Nadège Peldetta Golonga
“Poser pour moi c’est un art”
Jonglant entre les études et le mannequinat, Pélou (un surnom utilisé par ses proches) suit un programme Erasmus + pour le dernier semestre de sa dernière année de licence à Barcelone, où elle étudie lebusiness-communication et espère finir sa carrière en intégrant un master en management du sport. Mais elle n’omet pas de citer que si le mannequinat devient expansif, elle continuerait certainement dans cette voie. Poser ou défiler pour de grandes marques devient instinctif avec le temps, nous dit-elle de manière subjective. De son agence de modèles à Bruxelles, cette jeune fille aux idéaux remplis espère fortement voir ses sœurs africaines monter les marches des plus grands podiums du monde.